D.O.N.C # partition

Ce D.O.N.C, comme conjonction d’une conclusion qui n’en est pas une, permet de commencer par un état de fait : le bâti. Ce bâti peut être  mensonger, quand on songe à ce que peut dévoiler un bâtiment.  Reconvertir un bâtiment peut vouloir signifier lui donner de nouvelles  propriétés, de nouvelles fonctions, de nouveaux sens.

C’est là qu’intervient le langage (et la saillance sémantique). L’écriture permet de révéler de nouveaux angles, pour une  nouvelle approche d’armature. L’armature est bien faite : dessiner des  traits, révéler une perspective pour souligner l’imbrication des  ensembles.

Le choix des architectures ainsi exploitées est opérant  dans la mesure où elles deviennent accroches tangibles pour humain  anonyme traversant cet espace, et par conséquent l’espace de la page  blanche : la planche. Arpenter une planche comme on pince des cordes de  harpe, trouver la bonne vibration entre le mot évocateur et l’image  déployée.

L’errance est humaine et invite à suivre une trame non narrative. La logique devient réseau de fondations non visibles.

Le texte a été écrit d’après une série de planches de recherche en archigraphie proposant une divagation de sens en écho avec des structures architecturales. Ce scénario visuel est augmenté de textes évoquant des trajectoires de pensée comme perspectives élaborées.